« Est-ce que le beau, c’est du nouveau ? » interroge-t-il lorsqu’on lui demande ce qu’il pense de certains phénomènes artistiques. Son travail à lui est une recherche constante de sa juste place dans l’univers. « L’Homme forme un ensemble harmonieux avec la nature. Il doit s’épanouir, il doit exister dans son oeuvre ». Et son œil s’allume lorsqu’il évoque son plaisir toujours neuf à frotter ses jus colorés sur le grain du papier. Au fil des ans, le peintre s’achemine vers l’essentiel dépouillant peu à peu ses toiles de leurs artifices. « Il y a mille choses dans la peinture ! Mais en plus, il y a l’image. Si cette image est suggérée, qu’elle ne s’impose pas, c’est un plus pour la peinture ».

De 1960 à 1974, il fut décorateur-graveur à l’Hôtel des Monnaies à Paris
Dès 1963, il participe aux grands salons parisiens :
Artistes français, Nationale des Beaux Arts, Salon des Indépendants, Terres Latines et Salon du Dessin et de la Peinture à l’eau ; ainsi qu’à de nombreux salons de la région parisienne (Colombes, Le Bourget, Puteaux, Versailles, Pontoise, Saint-Ouen, Mantes la Jolie …) où il obtient de nombreux prix.

En 1974, il quitte Paris pour se consacrer totalement à la peinture, sa passion, à Saint Antonin Noble Val, en Tarn et Garonne.

En 1980, Claude Nicaud installe son Atelier dans le hameau de Brousses les Antibels où il expose en permanence.

Nombreuses expositions personnelles, en France et à l’étranger : Paris, Auvers sur Oise, Chantilly, Meaux, Lyon, Nîmes, Aire sur Adour, Bordeaux, Marmande, Villeneuve sur Lot, Toulouse, Albi, Montauban, Moissac, Castres, Grisolles, Azillanet, Gramat, Lectoure, Lauzerte,…
Saint Pierre et Miquelon, Suisse, USA, Andorre, Nouvelle Calédonie, etc.

Œuvres acquises par l’Etat, le Ministère des Finances, les villes de Paris, Puteaux, …le Musée de Marmande, le Musée du Locle en Suisse …